Réunifier Calais au service de l’efficacité
« Mais dans quelle circonscription suis-je » : cette question m’est posée tous les jours. Je tente alors de positionner la frontière qui sépare Calais en deux et tentent d’éclairer mon interlocuteur en fonction de son adresse. Ceci illustre le ridicule de la situation à laquelle une partie des calaisiens est confrontée. Ce « découpage », certains utilisent un terme plus cru, n’est utilisé que pour les seules élections législatives, ce qui aggrave encore plus le désarroi des calaisiens concernés. Cette affaire est tellement compliquée que je me souviens avoir vu Monsieur Lang sur le mauvais coté du trottoir, faisant sa campagne dans la mauvaise circonscription…
Cette situation où l’on n’a pas le même député en fonction du coté de la rue où l’on habite est ridicule mais aussi et surtout totalement incohérente. Elle va à l’encontre de l’efficacité qui devrait faire loi lorsqu’il s’agit d’aider et de représenter des habitants d’une ville ou d’un secteur géographique. « Désolé, je suis le député d’en face » est une remarque inacceptable pour un calaisien qui sollicite le député du Calaisis.
Elu député, je travaillerai activement avec le député de la seconde partie de Calais à qui je proposerai de nous concerter puis de travailler ensemble sur les dossiers qui concernent la ville. Calais n’a jamais eu de frontière, il faut donc l’ignorer et travailler intelligemment au service des calaisiens sans devoir s’inquiéter de leur adresse par rapport à un boulevard ou une rue. Les divisions, géographiques, politiques, idéologiques, etc… n’apportent rien à ceux qui sont dans la difficulté et il faut définitivement cesser cette scission de Calais et des calaisiens.
Tout en organisant la concertation et l’échange avec l’autre député de Calais sur les dossiers de la ville, j’agirai afin de mettre définitivement un terme à cette situation où une même population a son territoire coupée en deux, et se trouve représentée par deux députés.
Calais aura son député et les calaisiens seront représentés normalement et intelligemment et où l’efficacité sera enfin de mise.
Bernard CARPENTIER
Cette situation où l’on n’a pas le même député en fonction du coté de la rue où l’on habite est ridicule mais aussi et surtout totalement incohérente. Elle va à l’encontre de l’efficacité qui devrait faire loi lorsqu’il s’agit d’aider et de représenter des habitants d’une ville ou d’un secteur géographique. « Désolé, je suis le député d’en face » est une remarque inacceptable pour un calaisien qui sollicite le député du Calaisis.Elu député, je travaillerai activement avec le député de la seconde partie de Calais à qui je proposerai de nous concerter puis de travailler ensemble sur les dossiers qui concernent la ville. Calais n’a jamais eu de frontière, il faut donc l’ignorer et travailler intelligemment au service des calaisiens sans devoir s’inquiéter de leur adresse par rapport à un boulevard ou une rue. Les divisions, géographiques, politiques, idéologiques, etc… n’apportent rien à ceux qui sont dans la difficulté et il faut définitivement cesser cette scission de Calais et des calaisiens.
Tout en organisant la concertation et l’échange avec l’autre député de Calais sur les dossiers de la ville, j’agirai afin de mettre définitivement un terme à cette situation où une même population a son territoire coupée en deux, et se trouve représentée par deux députés.
Calais aura son député et les calaisiens seront représentés normalement et intelligemment et où l’efficacité sera enfin de mise.
Bernard CARPENTIER